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Al Stickin

Anakin

JonnyStyle

INVader

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JonOne

Kirikoo Pineapple

LOKO

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Mara

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Sunnyjim

 

Topolino

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Arkane

Gatemano

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ZOKA

 

Jonathan alias Zoka était un jeune graffeur de Montpellier. Il faisait parti du crew SMB.

Il est mort en chutant d’un toit en essayant de fuir la brigade anti-criminalité de Montpellier.

 

“Quand je serai mort, vous verrez mon nom sur la ville,”

 

disait-il. Jonathan est décédé mais Zoka demeure incruster dans le béton de la ville, il suffit de lever les yeux pour l’apercevoir.

ZEST

 

Franck Noto alias Zest est l’un des pionniers du graffiti montpelliérains. Ses débuts sont assez classique mais il ne tarde pas à développer une touche personnel, passant d’oeuvres figuratives à l’abstrait.

 

Avec le crew TDM (Taggeurs De Montpellier) Il réalise d'immenses fresques à travers le monde. Il mélange les techniques, bombes, pinceaux et même la sculpture.

Mist

 

Mist est né à Paris en 1972, et découvre le graffiti en 1988 sur le chemin de l’école, où il étudie le design durant 4 ans. Il a ensuite appris la sculpture dans une société de figurines durant une année. En 1992, il rejoint le groupe d’artistes graffitis les COP (Control of Paris) et peint de nombreux murs. Bien que fasciné par le lettrage Wild Style, il a développé son propre style calligraphique.

En 1998, développant son travail dans l’univers du Toys, il réalise l’un de ses premiers personnages en résine, “Debilz”, édité à 666 exemplaires, et qui le fait connaître par un large public.

Mist révèle non sans humour qu’à travers ses créations, il s’autoportraitise en permanence, que ses lettres sont donc habitées et possédées par son « style d’enfer ». Ce qui l’intéresse, c’est de faire vivre et presque danser sa lettre, qui en devient parfois un personnage.

Le style « Mist » se caractérise par l’utilisation quasi-permanente de gros contours et de couleurs franches, laissant apparaître ça et là cornes, queues ou doigts griffus.

La tradition du personnage ornant le graffiti est bien présente dans son travail, mais chez Mist, le B.Boy traditionnel fait place à de frais démons « mangaïesques » de toutes sortes, renversant l’icône Hip-Hop de ses aïeuls graffeurs.

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Smole

 

Artiste français né en 1982, SMOLE est originaire de Montpellier. Initié par KATO au graffiti, SMOLE s'y jette à corps perdu en 1996. Il aime alors particulièrement les trains, ce qui lui vaut certains démêlés avec la justice.

 

Très inspiré par le graffiti des origines, il travaille encore pour atteindre son style définitif. Il appartient notamment au groupe C4.

Jonnystyle

Issu du graffiti, Jonnystyle a effectué un pas de côté vis à vis de sa forme “classique”. Cette distanciation se matérialise au travers de médium différents, principalement la peinture au pinceau. Mais il a gardé le terrain de jeu : la rue.

C’est là, à la vue de tous, qu’il développe son style, toujours avec une pointe d’humour et impertinence.

Le personnage de Français prolétaire à moustache incarne à la fois l’underground, l’interdit, le pied-de-nez, tout étant sympathique et pétri d’autodérision. Depuis sa création en 2005, ce personnage n’a cessé d’évoluer, et est aujourd’hui mis en scène sous la forme de clins d’oeil dans des compositions très variées.

C’est dans les années 90 que l’artiste saute à pieds joints dans l’adolescence et dans le graffiti. Pendant une petite dizaine d’années, il murit en même temps que cette culture, en adoptant les bons comme les mauvais côtés du mouvement.

noon

Graphiste et illustatrice ancienne élève des Beaux arts de Montpellier,

NOON explore plusieurs univers depuis quelques années et revient à sa source le dessin : geometriques, graphiques colorés sur différents supports le papier le  le bois et dans la rue

Elle vit et travaille entre Montpellier et l’ile d’Oleron!

Il y a comme une nécessite pour NOON de dessiner. Pour elle c’est le moyen le plus simple et primitif pour engager une réflexion et de construire sa compréhension du monde.

Il s’agit de dessiner, d’expérimenter. Ses dessins sont riches en détails, inspirés de mouvements picturaux du monde entier et d’art déco. Elle s’expérimente sur tous les supports.

Les formes géométriques de ses illustrations, son univers se découvrent au fur et à mesure autour de la nature et des éléments.

Elle s’inspire du monde végétal minéral et aquatique avec une ligne directive autour des saisons.

MR BMX

C’est après une rencontre avec ‘KREVET’ (un taggueur Nîmois) qu’il fait ses débuts dans le ‘street art’. Sa signature? ‘BMX’ pardi! (C’était son rêve de gosse de devenir rider) mais il se rend vite compte qu’il n’est pas doué fait pour ça.

Et puis, un soir, une idée fulgurante: plutôt que de gribouiller sa signature ‘BMX’ partout sur les murs, il va les fixer… pour de vrai!

 

Et le voilà lancé: récupérant, sciant, soudant, repeignant de vieux BMX. Le tout premier, c’était vers la Grand’ rue Jean Moulin, mais il a été décroché ( bouhh!!!).

 

Depuis, il en a placé une quarantaine – dont une dizaine hors Montpellier: Paris, Bruxelles, New York… -avec une tentative sur Barcelone qui s’est soldée par une belle amende-

Il ne place pas les deux-roues pendant la nuit mais plutôt en pleine journée. C’est une sorte de défi: les fixer sans se faire prendre! Et puis, il trouve que ce ne serait pas correct de gêner et/ou réveiller les habitants avec sa perceuse… C’est un mec gentil ce Monsieur BMX!

Invader

Invader est un artiste de rue français, né en 1969. Il est diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Depuis plus de 20 ans, l'artiste installe des Space Invaders réalisés en carrelage ou en petit carreaux de mosaïques sur les murs des grandes métropoles internationales, et ce jusque dans l’espace. L'artiste est représenté par la galerie Over the Influence basée à Hong Kong. Son pseudonyme et l'esthétique de ses œuvres, sont inspirées d'un jeu vidéo de 1978 appelé Space Invaders. Pour conserver son anonymat, l'artiste a choisi d'apparaître masqué lors de ses interviews.

La pose de ses œuvres, qui sont effectuées le plus souvent sans accord préalable avec le possesseur de l'emplacement, constitue ce qu'il appelle "l'invasion"

 

Il y’a quelques années, Invader lance en compagnie de Zevs attack of Montpellier, les petites mosaïques envahissent la ville (http://www.panoplie.fr/panoplieorg/invader/menu.htm)

Il existe une application mobile pour partir à la chasse aux invaders à travers le monde.

JonOne

 

John Andrew Perello est né dans le ghetto new-yorkais d’Harlem, en 1963. Entre rupture scolaire et difficultés familiales, le jeune homme n’échappe pas au quotidien d’une jeunesse en danger et embrasse l’école de la rue. À l’âge de 17 ans, il débute le Graffiti. Writer embusqué sur la ligne A du métro de New York, John devenu Jonone fonde, épaulé d’une poignée d’activistes graffeurs, l’illustre collectif international 156 All Starz, en 1984.

Ces early years voient la rencontre avec le français Bando, qui l’invite immédiatement à Paris. L’artiste arpente alors le macadam, en excellente compagnie des pionniers du mouvement Hip-hop français, et entame une production de peintures au coeur d’un atelier campé à l’Hôpital Éphémère. Magda Danysz, Marcel Strouk ou David Pluskwa l’exposent. Ses toiles connaissent également l’honneur d’expositions à Tokyo, Monaco, New York ou Hong Kong. Dans les sous-sols du métro ou à la lumière des galeries, Jonone consomme à pleines dents son mariage hexagonal, et ne quittera plus le territoire. Aujourd’hui, il vit toujours à Paris. Son atelier est installé dans l’Est parisien, mairie des Lilas. John est père de deux enfants.

Kirikoo Pine apple

 

Artiste urbain et tatoueur montpelliérain, Kirikoo Pineapple fait parti d’un collectif  de graffeurs tatoueurs: Ronins Arts Collectif. Il réalise des collages en noir et blanc inspiré du tatouage, du mandala composés de motifs végétaux, de feuilles, de plumes ou encore d’arabesques.

 

C’est en autodidacte et récemment qu’il a commencé à se plonger dans le street art afin d’imposer ses dessins dans la rue à la vue de tous. Son nom d’artiste vient de ses origines Gabonaises et du fait qu’il porte des dreadlocks attachées en forme d’ananas.

 

mara

Né au Maroc, Mara grandit à Lunel et à Montpellier. Etudiant en design, Mara se plonge dans le street art à l’âge de 17 ans en développant son art du collage représenté par des personnages aux visages barrés d’une croix et tracés au feutre noir.

 

Influencé par Banksy, ses collages racontent une histoire qui souvent s’évadent de tous cadres. Simples et efficaces, ses personnages, à l’image de son créateur, se veulent toujours légers et optimistes tout en racontant l’actualité. Ils se doivent d’être faciles à comprendre autant des enfants que des adultes.

 

Pour le jeune street artiste, les lieux de collages sont toujours bien réfléchis car ils permettent de renforcer l’histoire qu’il raconte. Pour la petite anecdote, Mara réalise lui-même sa colle avec de la farine, de l’eau et du sucre.

 

 

Oré

Le graffeur Oré, a débuté le street art en 1989. Aérosol, pochoir ou encore collages, il utilise toutes sortes de supports urbains pour réaliser son art. Artiste touche-à-tout, il étudie la calligraphie arabe pour l’intégrer à ses fresques.

 

Lors de voyages au Mexique, il découvre le mythique serpent à plumes précolombien, Quetzalcóatl, qui va devenir un élément central de son univers pictural.

 

Levez les yeux ! Le Quetzalcóatl d'Oré a déjà pas mal voyagé, on l'a notamment vu à Angers, Lyon, Bordeaux ou Metz et récemment à Marseille pour le Printemps d'Art Contemporain. Et rien n'arrête le serpent voyageurs, il passe les frontières allègrement et conquièrent toutes les villes qu'il traverse : Berlin, Athènes, Barcelone, Vancouver.... La révolution Aztèque ne fait que commencer !

Son slogan : "Peindre la ville de nos mille utopies aux cent couleurs."

Sunny jim

Né en 1987 en région parisienne près de Cergy-Pontoise, SunnyJim commence à éprouver un intérêt pour le street art à la fin de son adolescence grâce à la scène graffiti locale de Montpellier. Autodidacte pour le pochoir et par la suite le collage, qui ont tous les deux un processus de création atypique, c’est après un séjour à Londres en 2008, que son amour pour le street art s’affirme.

 

Ainsi, à son retour en France, il s’inscrit en école d’art. Après quatre ans d’expérimentations anonymes, il commence en 2012 par signer sous le pseudonyme de Sunny Jim, avec un style, une théorie et une ligne rouge qui le définisse totalement.

 

Il met en scène de façon poétique des personnages sans visage. Il aime explorer les thèmes de l’amour, de la sensualité, de la féminité, de l’amitié, etc et cherche à toucher monsieur et madame tout le monde et pas uniquement les initiés. Grâce à cela, ses personnages intriguent, questionnent, dérangent.

 

Certains y verront une bulle, d’autres un casque ou encore la lune. Quoi qu’il en soit ces personnages sans visage ne laissent pas indifférents.

Al stickin

 

MAKADAM

 

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MAYE

 

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ARKANE

 

JEAZE

 

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MANY LOG

 

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